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Rodzina Dubicki/? (Paszkiszki ?) / Dzieci 18??/18?? - Belarus |
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Adam |
Józef |
Jan |
Stefania |
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1874-±1947 |
18??-19?? |
18??-19?? |
18??-19?? |
3 dzieci |
bez dzieci |
±3 dzieci |
bez dzieci |
Żona Benedykta TARASEWICZ |
- |
nieznany Żona |
- |
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Nie Poprzedniej Generacji |
Drewniany dom "Srub" |
Республика Беларусь |
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Ojciec |
Matka |
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Andrzej DUBICKI |
Unknow ? |
1932-18?? |
18??-18?? |
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Wieś Paszkiszki, Parafia Holszany |
W środku był dom Adama Dubicki |
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Paweł Stefan SAPIEHA |
Rejon Oszmianski |
Holszany czy Halshany, Halšany, ???????? Belarus |
...Halshany... |
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Zamec Holszany |
Wieś Paszkiszki |
Kościół St. John the Baptist, Halshany. |
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Jest bardzo prawdopodobne, że Paszkiszki jest pochodzenie z rodziny Dubicki Grauzyszki i że rodziny w wiosce Białoruś Tarasewicza. |
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Paszkiszki, dwór y wioska z karczmą JM pana Zakrzewskiego, między południem a zachodem zimowym mila mała jedna.
Tadeusz Zakrzewski marca 23
dnia 1800 r. przedaje Paszkiszki wraz ze wszystkiemi attynen
cjami za 56.000 zlp. Tomaszowi Ganowi, potomkowi jednego
z najstarszych rodów, w Oszmianszczyznie osiadlych. Juz bo
wiem 1620 r. Jerzy Gan herbu Rawicz posiadal folwark Ne
mowiany w Oszmianskiem; Wasyl Gan w 1650 roku byl równiez
ziemskim wlascicielem w Oszmianszczyznie, zas w 1658 r. Jan
Czyczyn Eygirt dal w posagu córce swej Matyldzie, wydanej za
maz za Piotra Gana, »doznawszy od ziecia swego wszelakich
uslug i milosci«, majetnosc swoja Eygirdy i Seliszczenieta, mie
dzy Trabami a rzeka Berezyna lezace. Tomasz Gan, ozeniony
z Krystyna Dmochowska, czynny od 1789 r. na poslugach pu-
blicznych w rozmaitych urzedach powiatowych, dziadem byl dzi-
siejszego Paszkiszek wlasciciela, Juljusza Gana).
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Histoire de la République du Bélarus (Quelques dates) "Histoire" de comprendre. |
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1812 |
Napoléon 1er envahit la Biélorussie |
1918 |
25 mars, (1ere indépendance) devient la République populaire biélorusse, Capitale Minsk. |
1921 |
Traité de Riga, signé le 18 mars, après la guerre russo-polonaise de 1920, octroie la partie occidentale de la Biélorussie à la Pologne (frontière de 1772). |
1922 |
la Biélorussie adhère à l'Union des républiques socialistes soviétiques. |
29 septembre 1939 |
Le Pacte germano-soviétique (Molotov-Ribbentrop) d'août 1939 prévoyait la partition de la Pologne le long d'une ligne passant par le San, la Vistule et le Narew.
En septembre, après l'écrasement de la Pologne, l'Union soviétique annexa tous les territoires à l'est de la Ligne Curzon, plus Bialystok et la Galicie orientale,
territoires qui furent incorporés aux RSS de Biélorussie et d'Ukraine après de pseudo-référendums.
Des centaines de milliers de Polonais, et des Juifs en nombre moindre, furent déportés vers l'est en Union soviétique.
En juillet 1941 ces territoires furent occupés par l'Allemagne au cours de l’invasion de l'Union soviétique. |
1939 à 1941 |
La population Polonaise fait l'objet de persécutions pendant la période soviétique.
Le régime a tenté de vider la Biélorussie de cette minorité.
Déportations et éxécutions sommaires. Echanges, plus ou moins sous la contrainte, de Populations avec la Pologne .
Source Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Pologne_pendant_la_Seconde_Guerre_mondiale
L'occupation soviétique dans les territoires de l'Est (1939-1941).
Le NKVD a joué un rôle important dans la « soviétisation ». Les premières victimes du nouveau régime sont les 217 000 prisonniers de guerre capturés par l'URSS
après l'invasion de septembre 1939.
Presque tous les officiers capturés et une grande partie des simples soldats sont assassinés (Voir Massacre de Katyn).
Mais si les prisonniers de guerre forment le groupe le plus touché par la répression soviétique, les populations civiles ne sont pas épargnées pour autant.
Les personnes qui ont travaillé pour l'État polonais deviennent coupables de « crimes contre la révolution » et d'activités « contre-révolutionnaires ».
En vertu de ces considérations, on arrête un grand nombre d'intellectuels Polonais, des politiciens, des fonctionnaires et même de simples citoyens suspectés de représenter une menace pour le pouvoir soviétique.
Parmi les personnalités arrêtées figurent les anciens premiers ministres Leon Kozlowski et Aleksander Prystor.
La population des territoires occupés par les Soviétiques comprend 38 % de Polonais, 37 % d'Ukrainiens, 14,5 % de Biélorusses, 8,4 % de Juifs, 0,9 % de Russes et 0,6 % d'Allemands.
Comme la répartition de ces populations n'est pas homogène, une grande partie des territoires est donc habitée par de fortes minorités non polonaises, notamment les Biélorusses au Nord et les Ukrainiens au Sud. Alors que les Allemands fondent leurs discriminations politiques sur le racisme, les Soviétiques fondent les leurs sur l'interprétation stalinienne de la lutte des classes. Dès les premiers jours de l'occupation soviétique, et jusqu'en juin 1941 tandis que les 70 000 Allemands présents dans ce territoire sont amicalement convoyés dans la partie allemande de la Pologne pour être installés en Wartheland, 440 000 Polonais, sont déportés vers l'Est de l'URSS (essentiellement vers le Kazakhstan) en commençant par les intellectuels, les fonctionnaires, les avocats, les commerçants et les curés, tous considérés comme des « laquais du capitalisme » ou exécutés.
Toutefois, leur déportation sera interrompue par l'opération Barbarossa et ne reprendra qu'en 1945.
Quelques semaines après la capitulation des Polonais, les Soviétiques organisent un simulacre d'élections au Soviet Suprême de la « Biélorussie occidentale » et de l'« Ukraine occidentale », nouvelles appellations des provinces annexées par les Soviétiques. À la suite de ces « élections », toutes les administrations de l'ancien État polonais démantelé sont rouvertes avec de nouveaux personnels et directeurs, russes dans la plupart des cas et, plus rarement, ukrainiens. L'Université de Lviv ainsi que beaucoup d'autres écoles sont rouvertes, mais elles fonctionnent désormais en russe comme de nouvelles institutions soviétiques et non en polonais selon leurs anciennes traditions. L'université de Lviv (Lwów), autrefois accessible uniquement aux polonophones, est réorganisée avec la création de nouvelles chaires : langue russe, littérature russe, Marxisme-léninisme.
Tous les médias passent sous le contrôle de Moscou. Les nouvelles autorités mettent en place un régime policier qui repose sur la terreur. Toutes les organisations polonaises sont dissoutes. Seul est autorisé le parti communiste (de l'Union soviétique, pas polonais) ainsi que les organisations qui lui sont subordonnées. Les entreprises sont étatisées, l'agriculture est collectivisée et les religions sont persécutées (églises catholiques, orthodoxes et synagogues sont transformées en granges ou en entrepôts, parfois en cinémas, et quelques-unes sont dynamitées).
Tous les résidents de la zone annexée acquièrent automatiquement la citoyenneté soviétique.
Dans un premier temps, les nouvelles autorités bénéficient d'un certain soutien parmi les minorités non polonaises qui avaient subi la politique centralisatrice, nationaliste et pro-catholique de la République Polonaise jusqu'en 1939. Beaucoup de Juifs, de Biélorusses et plus encore d'Ukrainiens accueillent favorablement les Soviétiques, surtout à cause de l'unification de l'Ukraine, unification qui avait failli se faire en 1919, mais qui avait été torpillée par le partage de l'Ukraine entre la Pologne et l'URSS. Cette adhésion d'une partie de la population ukrainienne à la politique soviétique est renforcée par la réforme agraire par laquelle la plupart des gros propriétaires (en majorité polonais) sont étiquetés « koulaks », dépossédés de leurs terres, redistribuées aux paysans pauvres, et déportés.
Lorsque les nazis prennent possession de ces territoires, après juin 1941, ils les incorporent à différentes entités administratives : Prusse-Orientale (Suwalki), Reichskommissariat Ostland (nord-est), Reichskommissariat Ukraine(est), Gouvernement Général (sud-est).
À l'issue de la guerre, les Soviétiques annexent à nouveau ces territoires (à l'exception des régions de Bialystok et de Przemysl rendues à la Pologne) et reprennent les déportations d'intellectuels interrompues en 1941, tandis que la masse des survivants (environ 1 500 000 personnes) est déplacée vers les anciennes provinces allemandes rattachées à la Pologne.
Enfin, la Pologne devenue une « démocratie populaire » (c'est-à-dire une dictature alliée de l'URSS), autorise les Soviétiques à laisser stationner leur armée dans le pays jusqu'au début des années 1990 (pacte de Varsovie). |
22 Juin 1941 |
L'Allemagne attaqua l'URSS. La Biélorussie ne résista pas longtemps et, après avoir été en partie évacué, son territoire tomba en totalité sous contrôle nazi en août 1941. Pendant la "Grande Guerre Patriotique" (seconde Guerre Mondiale), 25 % de la population sont tués. Minsk est détruite à 90 %. Près de 700 villages sont brûlés avec leurs habitants par les troupes nazies. |
Nuit 22/23 juin 1941 |
A la fin de l'occupation soviétique (NKVD, Le Commissariat du peuple aux Affaires intérieures Soviétique), 57 prisonniers Polonais de la population locale sont assassinés et enterrés dans une fosse commune à Ašmiany,(Ashmyany). |
1944 |
Été, libération de la Biélorussie par l'Armée Rouge. |
26 avril 1986 |
Catastrophe de Tchernobyl qui a contaminé plus du riers du territoire. |
24 octobre 1945 |
La Biélorussie devient membre de l’Organisation des Nations unies. |
27 juillet 1990 |
La Biélorussie proclame sa « souveraineté |
25 août 1991 |
Déclaration d'indépendance de la Biélorussie |
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"Zamek Holszany" |
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Dubicki, Parafia Holszany |
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Rok |
Wydarzenie |
Imię |
Nazwisko |
Ojciec |
Matka |
Miejsce |
N° |
1797 |
Urodzenie |
Aniela Wiktoria |
DUBICKA |
Adam DUBICKI |
Katarzyna BOHUSIEWICZ |
Dorgiszki, Parafia Holszany |
Akt 2 |
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Rok |
Wydarzenie |
Imię |
Nazwisko |
Imię |
Nazwisko |
Miejsce |
N° |
1809 |
Ślub |
Jerzy |
DUBICKI |
Anna |
TARSZAKIEWICZ |
Parafia Holszany |
Akt 25 |
1809 |
Ślub |
Stanisław |
DUBICKI |
Franciszka |
KŁYSZEWSKA |
Parafia Holszany |
Akt 52 |
1817 |
Ślub |
Marianna |
DUBICKA |
Stanisław |
ASKONTOWICZ |
Parafia Holszany |
Akt 5 |
1823 |
Ślub |
Szymon |
DUBICKI |
Petronela |
ŻURAWIANKA |
Parafia Holszany |
Akt 18 |
1823 |
Ślub |
Franciszka |
DUBICKA |
Adam |
DZIERW...? |
Parafia Holszany |
Akt 3 |
1826 |
Ślub |
Józefa |
DUBICKA |
Piotr |
KIETRYS |
Parafia Holszany |
Akt 7 |
inni w parafiach Zuprany, Ostrowiec, Michaliszki, Derewna, |
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Tarasiewicz, Parafia Oszmiana, Parafia Graużyszki Brak Między 1797-1846 |
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Rok |
Wydarzenie |
Imię |
Nazwisko |
Ojciec |
Matka |
Miejsce |
N° |
1878 |
Urodzenie |
Marianna |
TARASIEWICZ |
Tadeusz TARASIEWICZ |
Scholastyka NEJRANOWSKA |
Parafia Oszmiana |
Akt 20 |
1879 |
Urodzenie |
Stefania |
TARASIEWICZ |
Tadeusz TARASIEWICZ |
Scholastyka NEJRANOWSKA |
Parafia Oszmiana |
Akt 83 |
1880 |
Urodzenie |
Anna |
CZEKAŁOWSKA |
? CZEKAŁOWSKI |
Ludwika TARASIEWICZ |
Parafia Oszmiana |
Akt 316 |
1881 |
Urodzenie |
Józefa |
TARASIEWICZ |
Ignacy TARASIEWICZ |
Michalina ZAGORSKA |
Parafia Oszmiana |
Akt 11 |
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Rok |
Wydarzenie |
Imię |
Nazwisko |
Imię |
Nazwisko |
Miejsce |
N° |
1798 |
Ślub |
Andrzej |
TARASIEWICZ |
Konstanja |
SOBOWICZ |
Parafia Oszmiana |
Akt 57 |
1867 |
Ślub |
Agata |
TARASIEWICZ |
Józef |
WIARONIEWICZ |
Parafia Oszmiana |
Akt 20 |
1868 |
Ślub |
Joanna |
BUSŁOWICZ |
Józef |
MICKIEWICZ |
Parafia Oszmiana |
Akt 8 |
1869 |
Ślub |
Tadeusz |
TARASIEWICZ |
Scholastyka |
NEJRANOWSKA |
Parafia Oszmiana |
Akt 11 |
1871 |
Ślub |
Antonina |
TARASIEWICZ |
Eliasz |
KISIEL |
Parafia Oszmiana |
Akt 24 |
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Rok |
Wydarzenie |
Imię |
Nazwisko |
- |
- |
Miejsce |
N° |
1878 |
Zgon |
Aniela |
TARASIEWICZ |
- |
- |
Parafia Oszmiana |
Akt 187 |
inni w parafiach Wawiórka , Nowa Mysz, Derewna |
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Z myślą o wielkiego poety Adama Mickiewicza. Nie było chyba w tym regionie Pan Tadeusz Soplicowo... |
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